

Maryse Néron de Clermont travaille à la Fondation Canadienne du Rein
Mer. 1 mars 2017 2 minutes


Originaire de Clermont, Maryse Néron se dévoue quotidiennement pour ses semblables !
Un portrait de Marc Larouche
Mars est le mois du rein. Savez-vous qu’une Charlevoisienne travaille à la Fondation canadienne du rein à Québec depuis 25 ans ? Maryse Néron y occupe actuellement le poste de Coordonnatrice au développement. Originaire de Clermont, elle aime par-dessus tout l’aspect de son travail qui lui permet d’aider son prochain.
«J’ai grandi dans Charlevoix. C’est tellement beau. Lorsque j’y retourne, je réalise à quel point ça me manque», lance-t-elle. Ne dit-on pas que l’on peut sortir quelqu’un de Charlevoix, mais jamais le contraire ? Est-ce que d’y être née l’aide dans son travail ? «Probablement, lorsque tu as été élevée dans une petite communauté où l’entraide et le souci des autres font partie du quotidien, ça inspire».
D’ailleurs, à titre de Coordonnatrice au développement, l’une de ses forces est le travail sur le terrain. «J’adore parler aux gens, les rencontrer, collaborer avec eux afin de faire mon bout de chemin dans la mission de la Fondation».
Hasard
C’est par hasard que la titulaire d’un baccalauréat en administration a décroché cet emploi. «Je connaissais quelqu’un qui suivait des traitements de dialyse et nous avons su qu’il y avait un poste de remplacement pour un congé de maternité à la Fondation. J’ai décidé de tenter ma chance et c’est comme ça que tout a commencé, il y a 25 ans».
Maryse coordonne les activités de financement de la Section de Québec de la Fondation canadienne du rein, qui comprend le Bas-Saint-Laurent, les Îles-de-la-Madeleine, la Beauce, Charlevoix, la Côte-Nord, souvent ce sont des marches de soutien ou des tournois de golf. Les fonds amassés servent, entre autres, à la recherche et à prodiguer des divers services aux patients atteints de maladies rénales.
«Les besoins sont criants. La population est vieillissante. On vit plus vieux, mais avec diverses maladies aussi. Les gens qui font du diabète et de l’hypertension sont plus sujets à développer des maladies du rein et finissent souvent dans notre cour. Il y a une clientèle de personnes âgées que l’on ne voyait pas avant. Nous tentons d’agir en prévention en faisant la promotion des saines habitudes de vie, dont l’alimentation».
On peut vivre facilement avec un seul rein. Aussi, les dons de rein provenant de personnes vivantes sont en augmentation. La Fondation, qui a eu 50 ans en 2014, a investi plus de 100 millions $ depuis ses débuts.

Quels sont les plus beaux souvenirs que Maryse Néron retient de Charlevoix ? «Ma jeunesse au Bar à Jazz. Mon Dieu que nous avons eu du plaisir. Maintenant, c’est différent, lorsque je m’y rends, on fait de soupers. C’est tout aussi agréable, mais c’est différent. Je me souviens aussi du Bar La Licorne, qui était situé sous le Castel de la Mer.
Je me faisais toujours mettre dehors parce que je n’avais pas l’âge», rigole-t-elle.

Maryse habite Québec. Elle a une fille de 23 ans. Son père, Edouard, est décédé et sa mère, Géraldine Bergeron, a célébré ses 93 ans.
«C’est toujours un plaisir d'y retourner»
Un portrait de Marc Larouche
Mars est le mois du rein. Savez-vous qu’une Charlevoisienne travaille à la Fondation canadienne du rein à Québec depuis 25 ans ? Maryse Néron y occupe actuellement le poste de Coordonnatrice au développement. Originaire de Clermont, elle aime par-dessus tout l’aspect de son travail qui lui permet d’aider son prochain.
«J’ai grandi dans Charlevoix. C’est tellement beau. Lorsque j’y retourne, je réalise à quel point ça me manque», lance-t-elle. Ne dit-on pas que l’on peut sortir quelqu’un de Charlevoix, mais jamais le contraire ? Est-ce que d’y être née l’aide dans son travail ? «Probablement, lorsque tu as été élevée dans une petite communauté où l’entraide et le souci des autres font partie du quotidien, ça inspire».
D’ailleurs, à titre de Coordonnatrice au développement, l’une de ses forces est le travail sur le terrain. «J’adore parler aux gens, les rencontrer, collaborer avec eux afin de faire mon bout de chemin dans la mission de la Fondation».
Hasard
C’est par hasard que la titulaire d’un baccalauréat en administration a décroché cet emploi. «Je connaissais quelqu’un qui suivait des traitements de dialyse et nous avons su qu’il y avait un poste de remplacement pour un congé de maternité à la Fondation. J’ai décidé de tenter ma chance et c’est comme ça que tout a commencé, il y a 25 ans».
Maryse coordonne les activités de financement de la Section de Québec de la Fondation canadienne du rein, qui comprend le Bas-Saint-Laurent, les Îles-de-la-Madeleine, la Beauce, Charlevoix, la Côte-Nord, souvent ce sont des marches de soutien ou des tournois de golf. Les fonds amassés servent, entre autres, à la recherche et à prodiguer des divers services aux patients atteints de maladies rénales.
«Les besoins sont criants. La population est vieillissante. On vit plus vieux, mais avec diverses maladies aussi. Les gens qui font du diabète et de l’hypertension sont plus sujets à développer des maladies du rein et finissent souvent dans notre cour. Il y a une clientèle de personnes âgées que l’on ne voyait pas avant. Nous tentons d’agir en prévention en faisant la promotion des saines habitudes de vie, dont l’alimentation».
On peut vivre facilement avec un seul rein. Aussi, les dons de rein provenant de personnes vivantes sont en augmentation. La Fondation, qui a eu 50 ans en 2014, a investi plus de 100 millions $ depuis ses débuts.

Quels sont les plus beaux souvenirs que Maryse Néron retient de Charlevoix ? «Ma jeunesse au Bar à Jazz. Mon Dieu que nous avons eu du plaisir. Maintenant, c’est différent, lorsque je m’y rends, on fait de soupers. C’est tout aussi agréable, mais c’est différent. Je me souviens aussi du Bar La Licorne, qui était situé sous le Castel de la Mer.
Je me faisais toujours mettre dehors parce que je n’avais pas l’âge», rigole-t-elle.

Maryse habite Québec. Elle a une fille de 23 ans. Son père, Edouard, est décédé et sa mère, Géraldine Bergeron, a célébré ses 93 ans.
«C’est toujours un plaisir d'y retourner»