Notre personnalité du jour est Martial Junior Hovington
Lun. 13 novembre 2017 1 minute
Notre personnalité du jour est Martial Junior Hovington.
Junior est arrivé directement de la Côte Nord, plus précisément des Bergeronnes, il est très impliqué dans la relève agricole de son coin et très heureux de participer lors des événements agricoles de la région.
Il est âgé de 27 ans et travaille sur la ferme familiale de bovins de boucherie qui compte 70 têtes de race croisée et 187 hectares sur une superficie de 362 sont consacrés en culture pour les animaux.
Martial a toujours travaillé sur la ferme avec son père, mais à 20 ans, une remise en question concernant l’agriculture l’a orienté vers les véhicules lourds et il a travaillé dans ce domaine pendant 3 ans, mais la passion de ses jeunes années est venue frapper de nouveau à sa porte et il est retourné travailler sur la ferme.
Sans diplôme en agriculture, il n’a pu recevoir d’aide gouvernementale; il s’est donc « retrousser les manches » dans la réalisation de projets pour faire de sa ferme une entreprise prospère. Il désire augmenter le nombre de têtes, ajouter un nouveau bâtiment qui facilitera mieux la manipulation des animaux.
Il espère transmettre la passion qui l’habite pour la terre à ses enfants. BRAVO et bon succès pour le futur!
Junior est arrivé directement de la Côte Nord, plus précisément des Bergeronnes, il est très impliqué dans la relève agricole de son coin et très heureux de participer lors des événements agricoles de la région.
Il est âgé de 27 ans et travaille sur la ferme familiale de bovins de boucherie qui compte 70 têtes de race croisée et 187 hectares sur une superficie de 362 sont consacrés en culture pour les animaux.
Martial a toujours travaillé sur la ferme avec son père, mais à 20 ans, une remise en question concernant l’agriculture l’a orienté vers les véhicules lourds et il a travaillé dans ce domaine pendant 3 ans, mais la passion de ses jeunes années est venue frapper de nouveau à sa porte et il est retourné travailler sur la ferme.
Sans diplôme en agriculture, il n’a pu recevoir d’aide gouvernementale; il s’est donc « retrousser les manches » dans la réalisation de projets pour faire de sa ferme une entreprise prospère. Il désire augmenter le nombre de têtes, ajouter un nouveau bâtiment qui facilitera mieux la manipulation des animaux.
Il espère transmettre la passion qui l’habite pour la terre à ses enfants. BRAVO et bon succès pour le futur!
